Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série « Les haïkus visuels ». A partir d’un court poème japonais, j’imagine une scène qui rappelle la brièveté de l’existence. C’est un univers rempli de poésie où le travail des textures du grès s'exprime pleinement.
Réalisée en grès blanc chamotté, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Démarche artistique et technique
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série « Les haïkus visuels ». A partir d’un court poème japonais, j’imagine une scène qui rappelle la brièveté de l’existence. Je parle de la vie, de ce qui est là présent sous nos yeux, du plaisir des sens, de la profondeur et de la légèreté de l’être humain. C’est un univers rempli de poésie où le travail des textures du grès s'exprime pleinement.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Réalisée en grès blanc chamotté, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série « Les haïkus visuels ». A partir d’un court poème japonais, j’imagine une scène qui rappelle la brièveté de l’existence. Je parle de la vie, de ce qui est là présent sous nos yeux, du plaisir des sens, de la profondeur et de la légèreté de l’être humain. C’est un univers rempli de poésie où le travail des textures du grès s'exprime pleinement.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.