Femme en céramique, fière au corps brûlé, comme écorchée, sculpture humaine aux couleurs de feu et d’ocres, elle est à la fois mutine et sensuelle. Les détails de son corps suggèrent les blessures du passé mais aussi un espoir mystérieux. Elle est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos. S
Matière:Réalisée à partir d’un grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis partiellement émaillée. Cette céramique a nécessité plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Couleur:couleurs de feu, d’ocres et quelques nuances blanches
Réalisée à partir d’un grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis partiellement émaillée. Cette céramique a nécessité plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Démarche artistique et technique
Femme fière au corps brûlé, comme écorchée, sculpture humaine aux couleurs de feu et d’ocres, elle est à la fois mutine et sensuelle. Les détails de son corps suggèrent les blessures du passé mais aussi un espoir mystérieux. Sans visage défini, elle devient un miroir pour nos pensées. Elle invite le spectateur à s’évader, à voyager dans un univers empreint de poésie.Réalisée à partir d’un grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis partiellement émaillée. Cette céramique a nécessité plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Après le modelage du grès, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre. Dernière étape, je procède à un léger émaillage et une deuxième cuisson à 1250°. Enfin, cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Réalisée à partir d’un grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis partiellement émaillée. Cette céramique a nécessité plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Femme fière au corps brûlé, comme écorchée, sculpture humaine aux couleurs de feu et d’ocres, elle est à la fois mutine et sensuelle. Les détails de son corps suggèrent les blessures du passé mais aussi un espoir mystérieux. Sans visage défini, elle devient un miroir pour nos pensées. Elle invite le spectateur à s’évader, à voyager dans un univers empreint de poésie.Réalisée à partir d’un grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis partiellement émaillée. Cette céramique a nécessité plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Après le modelage du grès, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre. Dernière étape, je procède à un léger émaillage et une deuxième cuisson à 1250°. Enfin, cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.