Ombre est une sculpture féminine longiligne à poser en céramique mère, fille, épouse, amante, amie, elle est là, présente dans tous ses combats, ses luttes ses souffrances et ses victoires. Elle peut être dérangeante, battante mais jamais provocatrice
Matière:Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Couleur:couleurs de feu, d’ocre et ondes bleutées quelques nuances bleutées
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Démarche artistique et technique
Marie-Madeleine Vitrolles sculpte la matière, modèle la terre, façonne des figures féminines aux silhouettes longilignes. Autodidacte passionnée, son travail évolue entre le représentation classique et l’épuration des formes. Elle a choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l’impuissance et la force. Après le modelage du grès chamotté, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Marie-Madeleine Vitrolles sculpte la matière, modèle la terre, façonne des figures féminines aux silhouettes longilignes. Autodidacte passionnée, son travail évolue entre le représentation classique et l’épuration des formes. Elle a choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l’impuissance et la force. Après le modelage du grès chamotté, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.