Émergeant de la terre brûlée, il se tient là, fier comme un roc, un brin sauvage, homme d’ombre et de vents. Sa peau craquelée raconte des aventures épiques, il défie le temps, gardien de secrets enfouis dans la matière. Cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Matière:Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique est à poser
Démarche artistique et technique
Dans cette œuvre, j’ai voulu exprimer une force tendre, une virilité certes, mais avec un air un peu perdu, celui de quelqu’un qui cherche encore la mer dans un atelier."Cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique est à poser
Dans cette œuvre, j’ai voulu exprimer une force tendre, une virilité certes, mais avec un air un peu perdu, celui de quelqu’un qui cherche encore la mer dans un atelier."Cette réalisation est montée sur un socle métallique. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.