Sculpture à poser en céramique dont l'inspiration prend source dans la nature qui à la fois muse et miroir, se reflète dans chaque détail, fleurs, tatouages, invitant le spectateur à contempler cette danse silencieuse entre l'humain et le vivant. C'est une pièce unique
Matière:Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°.
Couleur:couleurs de feu, d’ocre et ondes bleutées et blanches
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°, elle sera posée sur un meuble , une étagère...
Démarche artistique et technique
Pour cette œuvre en céramique, mon inspiration prend sa source dans la nature, À travers celle-ci, je veux célébrer la femme dans sa symbiose avec le monde végétal. La nature, à la fois muse et miroir, se reflète dans chaque détail, fleurs, tatouages, invitant le spectateur à contempler cette danse silencieuse entre l'humain et le vivant. Bienvenue dans cet espace où les femmes prennent racine, où la nature s'épanouit en elle. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°, elle sera posée sur un meuble , une étagère...
Pour cette œuvre en céramique, mon inspiration prend sa source dans la nature, À travers celle-ci, je veux célébrer la femme dans sa symbiose avec le monde végétal. La nature, à la fois muse et miroir, se reflète dans chaque détail, fleurs, tatouages, invitant le spectateur à contempler cette danse silencieuse entre l'humain et le vivant. Bienvenue dans cet espace où les femmes prennent racine, où la nature s'épanouit en elle. C’est une pièce unique, signée au bas de son dos.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.