Sculpture d'un double buste racine mère-fille en grès décoré aux oxydes cuisson 1260°. Pièce unique modelée entièrement à la main dans mon atelier d'art en France.
DANS LE SILENCE DE L’ATELIER Dans le silence de l’atelier, je sculpte. J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans. Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué. J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile. Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages. Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie. L’imaginaire se confie à la matière.
Emballage et expédition
La sculpture sera emballée dans du plastique bulles et dans un colis double paroi.
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Sculpture pour rêver.
DANS LE SILENCE DE L’ATELIER Dans le silence de l’atelier, je sculpte. J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans. Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué. J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile. Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages. Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie. L’imaginaire se confie à la matière.
La sculpture sera emballée dans du plastique bulles et dans un colis double paroi.
Dans le silence de l’atelier, je sculpte.
J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans.
Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué.
J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile.
Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages.
Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie.
L’imaginaire se confie à la matière.