« Porter plus haut son regard sur les métiers d’art, et voir le monde autrement. »
Comme des négatifs du ciel, des nuages se posent sur des assiettes de
porcelaine
et nous
transportent dans un paysage qui défile, et pourtant figé.
La soie
organise une rencontre poétique entre la couleur et la lumière, et vient habiller le
vent.
Des nuages, faits de
papier ou tissus
illuminent ce ciel voilé.
Le crin de cheval
, brodé et coloré, associé à des triangles de céramique, nous suggère la
pluie qui tombe, goutte à goutte.
Le feutre de laine
est rond, généreux, sensible et devient organique.